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Création : 15/11/2015 à 02:42 Mise à jour : 22/08/2017 à 17:18

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1 article taggé arcelement scolaire

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STOP AU HARCÈLEMENT C'EST URGENT

STOP AU HARCÈLEMENT C'EST URGENT

IMPORTANT: STOP AU HARCÈLEMENT A L'ECOLE Je ne fais pas ça souvent sauf quand c'est vraiment important et le c'est malheureusement le cas.J'ai assisté malgré moi a cette forme de discrimination et ...

via : music-etstars.skyrock.com

 

STOP AU HARCÈLEMENT C'EST URGENTSTOP AU HARCÈLEMENT C'EST URGENTSTOP AU HARCÈLEMENT C'EST URGENTSTOP AU HARCÈLEMENT C'EST URGENT


La-Revolte, Posté le samedi 28 juillet 2012 15:51
De la maternelle au lycée ma scolarité à durée 15 ans, c'est à dire presque plus de la moitier de ma vie. Pendant 15 longues années j'ai subi le harcèlement scolaire durant toute ma vie et je n'ai pas eu d'adolescence. Je suis aujourd'hui, j'ai 21 ans, je suis une femme, mais mentalement je suis encore une adolescente, parce-que je n'ai pas pu grandir normalement. Je pense que si je n'avais pas subi toutes ces choses, je ne serai pas devenu la femme que je suis aujourd'hui. Mon adolescence a été détruite par les abrutis immatures pendant plusieurs année, et il me faudra le même nombre d'année pour me reconstruire. Je dois reforger ma personnalité, et redevenir "moi", la personne que j'aurai du être.

Quand un groupe de d'hommes me regarde, j'ai peur. Même si ces personnes n'ont pas de mauvaises intention à mon égard et qu'ils me regarde juste parce-qu'ils me trouvent tout simplement jolie (par exemple), j'ai peur. Pendant longtemps à l'école, de la primaire jusqu'au lycée, j'ai été dégoûté de la gente masculine. Pour moi les mecs me voulait tous du mal, et j'en avais peur. Je ne voulais pas avoir de petit-copain, et je fessais tous pour ne pas leur plaire. Je ne me maquillais pas, je ne portais pas des vêtement sexy l'été, ni des habits trop beaux, et je dissimulais mon corps dans des vêtement ample, pour gommer toutes traces de fémininité. Je fessais tout pour ne pas être attirante pour que les garçons ne s'interesse à moi. Pour moi l'école représentait la seule image que j'avais de la société, parce-que c'était le seul endroit où je fréquantais des jeunes de mon âge. Du coup comme dans le millieu scolaire, les mecs étaient tous des conards, je pensais bien évidemanent qu'ils étaitent tous pareil sans exeption même ceux de l'autre bout du monde. Ce n'est que bien après, que ma vission les hommes a changé. J'ai mis beaucoup de temps à comprendre qu'ils n'étaient pas tous mauvais, qu'il m'étais possible d'avoir un petit-copain, et que je pouvais être heureuse avec un homme. Notamment grâce aux colonies de vacances, et aux séjours en famille dans les résidences de pension complète, qui m'ont permis de rencontrer des nouvelles personnes, autre que toutes ces bandes de conards, et de bimbo que je fréquantais à l'école !



Voici mon témoignage :

En maternelle j'avais tout les jours des bleus, (sauf le week-end), car je me faisais frapper gratuitement par les autres enfants, et vous avez pourquoi ??! Parce-que j'étais petite de taille ... (allez comprendre). Et d'ailleurs vous savez pourquoi je suis de petite taille ? Tout simplement parce-que dés ma naissance, je ne pouvais pas me nourrir, car j'avais un estomac minuscule, et un trop problème dans le système digestif. Je ne digérais pas le lait maternelle. J'ai commencé à être nourrir seulement le 2éme jour de ma naissance (le lendemain). Car j'ai du me faire faire un nettoyage dans de l'intérieur, et ceci à eu un impact direct sur ma croissance. Es-ce de ma faute ?! NON ! Es-ce un crime d'être petite ? Je ne pense pas ... Alors, si vous comprenez quelque chose, surtout, dite le moi.

En primaire j'ai redoublée mon CE1, et quand j'ai voulu jouer avec mes copines qui étaient passé en classe supérieur, elles ne m'acceptaient plus dans leur groupe, parce-que j'avais 1 ans de moins qu'elles (en âge). C'est bizarre elles ne m'ont jamais fait ce coup là, avant. Nous étions de la même année, mais elles avaient toujours de l'avance sur moi puisque je suis du mois d'octobre et elles, étaient de janvier, février, et mars, avril. Elles ne m'acceptais pas dans leur groupe, tant que la date demon aniversaire n'était pas passé. Même au mois d'octobre, tant que le 28 n'était pas passé je n'avais pas le droit d'être avec elles (parce-que je suis née le 28 octobre). Elles me disaient : "Tu as bientôt 8 ans, mais TU N'AS PAS ENCORE 8 ANS, donc tu ne peux pas jouer avec nous, parce-que nous on a toutes 8 ans et pas toi !" Je trouvais ça ridicule, injuste et très discriminatoire. C'est domage que je ne connaissais pas le mot "discrimination" à cette époque là ...

En CE2, je recevais des coups de pieds et des coups de points gratuitement sans raison apparente de la part des garçon de ma classe. On m'insultais et je n'avais pas interêt à me défendre, sinon ça finissait mal pour moi. Faut dire que toute seule je ne fais pas le poids contre plusieurs garçons. Quand je me plaignais à l'école voilà ce que le enseignant de me répondais : "C'est pas grave" / "Tu n'a cas pas joué avec eux" / Moi: "Mais je ne joue pas avec eux, c'est lui qui viennent vers moi ! / "Et ben dis t'as cas leurs dire d'arrêter ..." :| Et quand les enseignants interviennent enfin, ils leur disent "Arrête" et ça ne va pas plus loin, ils ne les punisaient même pas. Pendant longtemps, je me suis rendu compte que ça ne sert strictement à rien de se plaindre auprès des adultes, parce-qu'ils s'en fichent complétement !

Je me suis fais frappée à l'école en maternelle et en primaire, cause de ma petite taille. Pourquoi ? Allez comprendre. Pourtant on ne le choisi pas, on est comme on est. je n'ai pas choisie d'être : grande ou petite, grosse ou mince, belle ou moche, fille ou garçon, noir, blanc, ou jaune ... Mais à
partir du moment où on n'est pas comme les autres, on considéré comme un intrut, on n'a pas sa place ! C'est comme ça ...

On se croirai vraiment dans une jungle. Oui c'est ça, c'est le mot : UNE JUNGLE ! Un monde individualiste. Les jeunes de nos jours, ne savent plus ce qu'est la vie en société. Ils ne se comportent même plus comme des êtres humains, mais comme des sauvages, comme des lions dans la savane, ou comme les hyènes ! C'est la loi du plus fort qui règne dans les cour de récréation, c'est la lois de la jungle. C'est comme ça que vivre les animaux sauvage dans la nature, mais le monde des humains je ne comprends vraiment pas pourquoi cela existe. Bientôt même les animaux font être plus civilisé que nous ! A croire qu'on régresse ...

Voilà là quoi ressemble le monde dans lequel vous nous vivons aujourd'hui : Pour ne pas avoir de problème, il faut être un mec, et il faut être grand et musclé. Être une une fille timide et toute menu comme moi c'est un handipap, et j'en ai subi les conséquences.

Du CM1 au CM2 c'était le contraire, on ne me touchait plus, on ne me frappait plus. J'ai appris par l'intermédiaire de mes camarades que j'avais une maladie contagieuse mortel, et qu'il ne fallait pas surtout pas me toucher. Tout le monde avait peur d'avoir des contacts physiques avec moi, ils disais que j'avais la poisse, et la peste. Vous y croyez-vous ? Poutant médicalement mon médecin n'a jamais rien vu d'alarmant. Les autres élèves se pousaient sur moi, pour qu'il soit "contaminer", même mes habits, et mes affaires étaient dangereux, et à chaque fois qu'une personne me frôlais, les autres lui disait qu'il avait la "maladie de [mon prénom]", et il était donc contagieux à son tour. Alors pour se débarrasser de la maladie il devait toucher quelqu'un autre, comme au jeu du chat et de la souris.

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Au collège, mes camarades de primaire avaient grandit en âge en vulgarité et en agressivité. Tous les lundi je pensais au vendredi soir. Tous les matins je me posais toujours la même question : "Que va t-il m'arriver aujourd'hui ?" Le soir je n'arrivais pas à dormir, je me fessais des films, et la nuit je fessais des cauchemars. A chaque sonnerie je ne voulais pas aller en récréation, je trainais dans les couloirs en prenant le chemins le plus long pour perdre du temps. Chaque minutes qui passait comptait. Le pire moment était la récréation du midi, car elle durait 2 h ! A la cantine on me disais de partir parce-que la table était toujours réservé", alors je répondais " A bon ? y'a vos nom écrit dessus ? Vous allez me faire quoi si je ne m'en vais pas ?" Répondre était pour moi ma seule fièreté qu'il me restais, mais je ne devais pas m'énerver, car pour moi une quelconque révolte de ma part, serai fatal. Je ne mangeais avec personne à la cantine, parce-que je préférais manger seule que de prendre mon repas avec ses personnes infréquentables. Manger à la table des profs était beaucoup plus agréable, parce-que eux au moins ils étaient sociable et poli.

En 6 ème et en 5éme, les garçons des classes supérieurs me harcelaient. Ils me surnommaient : "Poupée, Ma chérie, Ma beauté, mon amour" / "Tu ne trouves pas qu'on est fait l'un pour l'autre ?" / "Regardez, elle c'est ma meuf !" et je te touche, je te caresse (je subissais des attouchements). Plus tard quand c'était moi la plus grande en classe de 3éme, les garçons jouaient au foot avec mon sac. Les filles venaient en groupe autour de moi, pour me provoquer, et m'insulter parce-que l'union fait la force. Elles n'ont jamais eu le courage de m'affronter seule pour me dire en face ce qu'elle pense de moi. Il falait toujours qu'elles se protègent en venant en masse. C'est sur que une à dix contre une, elles sont sûr de gagner. Par contre quand j'en croise une dans le couloir elle n'ose même pas de regarder dans les yeux, et bizarrement elle ne me fait rien quand il n'y a plus ses copines. A croire qu'elles avaient peur de moi ! En réalité c'est elles qui font le plus pitié, elles fessaient vraiment peine à voir.

Au collège, j'ai testé les surveillants, pour voir si c'était les mêmes qu'en primaire, et pour voir si ils fessaient leur boulot. Je suis donc allée les voir pour dénoncer mes agresseurs. Mais eux, ils se contentaient seulement de leur donner des heures de colle, avec un travail à faire, et des mots dans le carnet qui n'avaient strictement aucun effet. Rare sont les élèves qui se fessaient convoquer dans le bureau du CPE, et qui se faissaient exclure de l'établissement. Cela arrivaient uniquement lorsque les élèves sont ammener manquer de respect aux enseignants et aux surveillants. Mais si c'est moi qu'on agresse c'est moins grave.

A partir de là, j'ai totalement perdu ma confiance envers les adultes. J'ai donc arrêté de me plaindre définitivement, je ne disais plus rien ! Je me suis senti délaissé et ignoré, plus que jamais, je ne l'avais été. J'ai vite compris que dans les établissements scolaire, c'était la jungle, et qu'il n'y avait aucune règle, ni aucune lois, comme en prison, et il qu'il n'y avait que la lois du plus fort qui régnait. J'ai compris que la seule personne sur qui je pouvais compter c'était moi même, et que je devais me battre pour me faire respecter.

Le garçon le plus violent, et le plus vulgaire du collège s'appelait Aurélien P, je le connais depuis l'école primaire. C'est un provocateur expert très belliqueux, qui resent toujours le besoin de dominer, toute personnes qu'il juge inférieur à lui, et dont je suis sa cible favorite. Un jour, au collège il m'a fait des attouchements sous les rires de tous ses copains, et je l'ai frappé. Après cela, j'ai été deux fois plus humiliée, parce-qu'il a appartement beaucoup apprécier mon coup de point, il a rigolé, et la surveillante m'a puni pour le coups que je lui ai donné qui n'ont eu aucun effet sur lui. Cette surveillante était une salope, il n'y avait aucune solidarité féminine en elle. On vois tout de suite que ce n'était pas elle qui se faissait tripoter et qu'elle en avait rien à foutre. Mais moi je préfère de loin avoir une heure de colle, plutôt que de me laisser faire. Je ne permet pas à ce pervers me toucher de cette sorte, et si c'était à refaire j'étais prête à recommencer, même si pour cela, je devais être puni.

Après cette incident, le plus ancien des surveillents qui me connaisait bien, est venu me voir pour me dire que mon comportement a été stupide, parce-que c'est lui qui a gagné. Il m'a dit que je n'aurai jamais dû lever la main sur lui, et venir le signaler. J'ai trouvé cette réflexion odieuse, gonflé, et ironique.

"Alors quand je viens les voir, ils font semblant de réagir et ils m'envoient chier, mais quand je tente de régler mes problème moi-même, ils me reprochent de ne leur avoir rien dit ?! ILS SE FICHENT DE MOI ! Ils me prennent vraiment tous pour une conne ..." :-#

En gros, quand je me fessais agresser, et que j'allais me plaindre aux surveillants ils m'envoyaient balader. Et quand c'est moi qui réagissais pour me défendre toute seule contre mes agresseurs c'était moi qui me faisait punir. En enfaite, j'avais le sentiment que les surveillants m'agressaient aussi.

Depuis le début de ma scolarité, j'avais l'impression d'avoir un démon à l'intérieur de mon corps, comme un "Jinchuuriki" dans la série mangas : "Naruto". A partir de la 4éme et jusqu'à la seconde, j'étais tellement frappée psychologiquement que j'étais arrivée à un stade ou je ne contrôlais plus ce que je fessais, comme si il y avait un démon imaginaire dans à l'intérieur de mon corps qui me fessait faire des gestes contre ma volonté, sans que je puisse me retenir. Plusieurs fois, j'ai tenter de m'étouffer en introduisant des objets dans ma bouche, pour ensuite lever la tête vers le ciel, en ouvrant grand la bouche afin de faire glisser le corps étranger au fond de ma gorge. Je me fessais du mal à moi-même, j'étais devenue violente envers moi-même, comme si mon propre corps se révoltait contre moi. J'avais totalement perdu le contrôle moi-même, et j'avais perdu la tête comme si j''étais devenue folle. C'étais comme si un démon c'était introduit dans mon corps et que je ne contrôlais plus mes gestes. je ne voulais pas le faire mais c'était plus fort que moi. Parfois je me fessais vomir en mettant mes doigts dans la bouche, ou je tirais violemment les extrémités de mes lèvres juste pour avoir mal. C'était en quelque sorte ma manière à moi de me scarifier, mais à ma façon. Comme je ne pouvais pas m'exprimer avec la parole, je m'exprimais avec mon corps.


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En seconde BEP Carrière Sanitaire et Sociale (en 2007) je me suis inscrite dans un lycée privé. Après la 3éme je pensais que m'inscrire dans un lycée privée était la meilleur des solutions, mais j'avais tors car c'était pire. Au début je ne connaissais pas mes camarades de classe, et je pensais repartir sur des nouvelles basses. Mais une semaine après la rentrée des classes, les garçons on commencé à me dire : "Aline, tu veux coucher avec moi ? ça te dit de faire une partouse ? / Tu veux sortir avec moi ? / " tu veux baiser ?" Au début je pensais qu'ils plaisantaient et qu'ils voulaient juste simplement me taquiner, donc je n'y prêtais pas vraiment attention. C'est seulement un peu plus tard dans la journée que je me suis rendu compte que en réalité, c'était beaucoup plus grave que ça. A partir de ce jours j'ai vécu les instant les plus noirs de mon existence, qui me marqueront à vie. Je subissais : méchancetés gratuites, provoque, iinsulte, humiliation, moquerie, agression, harcèlement, et des attouchements encore une fois de la part des garçons comme au collège, mais plus accentué. Le pire c'est que je ne pouvais pas aller voir le CPE pour raconter ce que je subbisais. Je ne pouvais demander de l'aide à personne parce-que ça me génais d'en parler, j'étais incapable de m'en plaindre tellement je me sentais humilier. Je me sentais salie au plus profond de mon âme, j'avais honte d'en parler. Je suis une fille très pudique, et des attouchement c'est la pires chose qu'on puisse me faire, juste après un viol.

Dans ma classe j'étais entourée de conards, les mecs étaient tous des salauds, et ils étaient encore pire que ceux du collège. Dans ma classe, la gente masculine était constituée que de garçons immatures associable très belliqueux, et pour qui j'étais encore une fois la cible favoris. Ils n'avaient strictement aucun respect pour moi, ils ne me considérais même pas comme un être humain, mais comme un objet, et pour eux j'étais leur jouet. Je pensais que dans cette branche professionnel les gens étaient plus sérieux, mais non en faite je me suis trompée, c'était pire. J'avais dans une classe de branleurs, avec que des pouffiasses, qui ne pensaient qu'à leur physique. Elles ne connaissaient rien à la vie, à part le maquillage, et la mode ! Elles passaient leur temps à tripoter leur portable toute les 10 minutes. Ce n'étaient même pas des filles, mais plutôt des bimbos anorexique, et leur visage était des pots de peinture, pas naturel du tout, au dirai qu'elle avait un masque ! Elles se remaquillaient toutes les 5 minutes pendant les cours, et aux toilettes il y avais toujours la queue devant le miroir. Impossible de se laver les main, ou de boire un coup ! Elles passaient à sortir en boîte, et à fumer leur clopes. Leur sujet de conversation tournaient toujours autour de la mode, des soldes, des mecs, et de leur conquettes masculines. Elle n'avaient que ça que la tête, c'était la seule chose qui comptait pour elle dans la vie : Le maquillage, la mode, les régimes, les mecs, leur téléphone portable, les boîtes de nuits, et les clopes.

Dans ce lycée il y avait Fabien D, c'était le pire mecs de ma classe, il était au même grade que Aurélien P du collège. Il me harcelait physiquement et moralement. Il me faisait des accouchements, et me donnais des surnoms amoureux. Il me caressait le visage, me touchait, me parlais comme si j'étais sa copine, et m'humiliait, pendant que les autres garçons qui disait des paroles obscènes par derrière. Ils se foutaient de ma gueule et la seule fois ou je voulu me défendre, Fabien m'avait plaquée au mur contre une gouttière, et il m'a frappée. Depuis, j'ai compris que j'avais le choix entre me soumettre, ou me faire cogner (j'étais obligée de choisir). Encore une fois c'était la loi du plus fort, et je ne pouvais rien faire, parce-que j'étais une fille. Un jour Fabien a voulu m'embrasser de force après avoir été sollicité par une de mes camarades (Amandine M), et toute de la classe était complice. Personne ne m'a défendu, ils étaient tous là en me regarder, comme si ils étaient devant un film. Certaines filles de ma classe rigolaient, pendant que d'autre l'encourageait. Une autre fille de ma classe (Cindy R) est même allée jusqu'à dire à Fabien que si il le fessait, elle lui donnerai 50 Euros, pour le motiver encore plus. Pour eux je n'étais qu'un jouet. J'étais encerclé, et on me tenait, j'étais obligée d'accepter ce baisé, j'avais les pieds au mur. Alors j'ai dis à Fabien que s'il s'approchais de moi je le frapperai, et que si il voulait m'embrasser il devra m'assommer ! Parce-que je préfèrais de loin qu'il me tabasse, plutôt que d'accepter ça. Il a finalement renoncé, mais je pense que si il l'aurai vraiment fait, il aurai eu la bouche en sang et il aurait fini aux urgence. Car j'étais prête à lui mordre sa langue avec toute la force des dents, comme un grand requin grand qui saisie sa proie, avec toute la puissance de sa mâchoires, en balançant sa tête de gauche à droite pour la déchiquette ! Ce jour là je l'ai surnommé "mon jour d'apocalypse". C'était le pire jour de ma vie, j'étais totalement détruite moralement. Je me souviens parfaitement de la date et de l'heure, où à c'est passé. C'était le vendredi 13 Avril 2007, à 16h20 pendant la dernière récréation, c'était notre dernière heure de cours, la veille des vacances de Pâque. Pendant le cours d'anglais la prof nous à passer un film "La ligne verte", et je n'ai pas regardé une fois l'écran, et je n'ai pas pu de retenir mes larmes, et régulièrement pendant le film certains me demandait "Hey, ça va ?" (La question super intelligente). C'était l'enfer, je n'ai jamais connu un jour aussi pire que celui-ci de toute ma vie. A la suite à ça, j'ai pleuré pendant 3 jours, et à la rentrée je ne voulais plus retourner au lycée.

Un jour j'ai réussi à arranger définitivement mon problème avec Fabien D. Je l'ai dénoncer pour une connerie qu'il a fait, et qui n'avait rien à voir avec moi. Il m'a engueulé en me disant que à cause le moi il pouvait se faire virer du lycée et foutre toutes sa carrière en l'air. Alors moi je lui ai répondu : "Et bien tu vois, moi aussi je peux te pourrir la vie. Et ce n'est que le commencement ! Parce-que j'ai une dette envers toi, je dois te rendre des comptes. Tu sais, je peux être très chiante quand je m'y mets. Je peux d'attirer beaucoup de problèmes, et faire de ta vie un enfer, si je le veux. Je suis une championne pour ça, tu peux compter sur sur moi. Alors si tu ne veux pas que le fasse, tu as intérêt à me respecter à partir de maintenant, et d'arrêter de me prendre pour un objet, parce-que je ne suis pas ton jouet ! Car si tu continues à me pourrir la vie, moi je vais pourrir la tienne !" A partir de là j'ai enfin eu la paix, avec lui, mais seulement avec LUI. Cela ne voulait pas dire que mes problèmes étaient résolu. Je ne m'étais débarrasser que de 1 % de mes problèmes. C'est comme si les éboueurs n'avait retirés d'une bouteille en plastique, alors que ma poubelle était pleine. J'étais loin du compte, j'avais beaucoup trop d'ennemis, et ce n'avait pas un de moins qui à fait une grande différence, même si c'était le déchet le plus encombrant.


Depuis l'école maternelle je ne me suis fais aucuns amis. Enfin ... La vérité c'était surtout que je ne voulais pas en avoir, car il y a un proverbe qui dit : "Vaut mieux être seul que mal accompagnée", que j'adhère complètement. Surtout qu'à partir du collège, je me suis bien rendu compte que les autres jeunes de mon âges, était tout simplement infréquentable et aussi associable que les racailles de cité, alors qu'on vivaient à la campagne ! (c'était des racailles de campagne). Donc j'étais bien mieux toute seule. J'avais le sentiment être morte à l'intérieur de moi-même, bien que je sois vivante à l'extérieur. Je respire, je mange, je bois, et je dors, voilà en quoi se résumais ma vie, ça n'allais pas plus loin. Je n'avais pas de vie sociale, j'étais seule, je n'avais pas de vie.

Durant ma scolarité, au collège et au lycée, j'étais entouré que de jeunes infréquentables. Les mecs étaient tous des conards qui n'avaient aucun respect de la gente féminisme (surtout envers moi), et les filles ... C'étaient toute des garses et des pestes ! Moi j'étais le seule à être "bien", et ce n'est pas parce-que les autres adolescents avec qui j'étais, sont incorrecte que j'ai fais comme eux. Parce-que moi j'ai refusé d'être comme eux, et je ne voulais pas faire partie de leur bande. J'ai refusé de suivre leur mauvais exemple, quitte à me faire détester ! Mais au moins, moi j'étais une fille sérieuse, bien éduqué, et j'en étais fière, même si j'en ai souffert.

Je suis peut être différente d'eux c'est peut être la raison pour laquelle que je m'en suis pris pleins la gueule. Mais une chose est sûr c'est que maintenant j'ai grandis, et qu'ils ne me font plus aucun effet. Ils se fichent de moi, ils ont beaux m'insulter me traiter de tout les noms, j'en ai plus rien à faire. Je les voient avec leur joints, depuis qu'ils ont 15 ans, et parfois j'entends leur discussions dans les couloirs qui me paraissent tellement stupide, qu'elles me font peine.

Quand je vois toutes ces filles qui osent me traiter de ''garse, de salope'', alors qu'elle se font manipuler par les garçons ... Quand je vois toutes ces filles en manque de rêve qui couche pour qu'on les aime, qui fume pour cacher leur frustration, et qui boive parce que c'est leur unique moyen de s'amuser et de profiter de la jeunesse, elle me font vraiment pitié . Toutes ces filles qui se bourrent de maquillage pour plaire aux garçons, et qui n'osent plus sortir de chez elle sans un coup de crayon à leur yeux, ont leurs dis qu'elles sont ''jolies'' mais finalement n'ont rien d'autres pour plaire, car aucune intelligence, et aucune malice ...

Quand je vois ses garçons qui utilisent les filles, qui les manipulent, qui les prennent pour des objets et qui les jettent ensuite, c'est la même chose, j'ai tout autant de peine pour eux. Ils se moquent des autres mecs parce qu'ils ont encore jamais embrassées une fille, ou parce-qu'ils n'ont encore jamais fais le même genre de connerie qu'eux. Parce qu'ils sont moins virils parfois, ou qu'ils sont juste différents ...

Ils s'imaginent qu'ils sont fort parce qu'ils sont leur ''potes''...
Mais c'est quoi leur ''potes'' ? Des gens avec qui ils partagent de bons moments les samedis après-midi, des gens avec qui ils révisaient leur cours en rentrant, des gens avec qui ils discutent de choses intéressantes ? NON ! Leur ''potes'' à eux se sont ceux qui leur permettent de rester dans leur bandes juste parce qu'ils sont êtes capable de fumer, de boire et c'est comme ca qu'ils se sentent puissant. Ils se sentent plus forts, mais malheureusement c'est la seule chose qu'ils ont dans votre misérable petite vie.

Pour moi ce ne sont que des gens jaloux, qui sont mal dans leur mésérable vie, et qui cherchait juste à me détruire, parce-qu'ils m'envient. Je suis peut être différente en effet, ils ne m'aiment pas ? Et beien tant mieux j'en suis la plus heureuse, parce-que moi au moins je me porte bien, et je suis une personne correcte, sérieuse, et bien éduqué. Je suis pas ''une garse'' , ni ''une salope'', ni même une ''pute'' ou encore moins ''une coincée'' comme certains disent ... Je suis juste quelqu'un qui sais m'amuser avec mes amis, sans avoir besoin de me détruire. Moi, je sais vivre autrement qu'eux, et j'irais surement bien plus loin qu'eux dans la vie !

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En 2011, J'ai fini par changer de lycée pour ma dernier année de BEP, (la terminal) dans un lycée public cette fois-ci. Là, je suis tombée dans une nouvelle classe. Cette classe était accueillante, solidaire, respectueuse, sociable, très sérieuse qui avait envie de travailler et de décrocher leur diplôme. Ils étaient tous motivé pour leur édudes, et il étaient un bon exemple pour moi. Là, pour la toute première fois de ma vie, j'avais le sentiment d'être accepter. Là, je me suis sentis à laisse, et pour la première fois de ma vie depuis que je suis scolarisée, j'étais considéré comme une personne à part entière, avec un entourage d'adolescents qui me respectait comme quelqu'un de normal. PARCE-QUE JE SUIS NORMAL ! Ici, j'ai pu commencer un niveau départ. A partir de là j'ai enfin réalisé que durant toutes ces années que j'ai traversée, c'était les autres qui avaient un problème. (et non pas moi). C'était la seule année ou je me suis retrouvée dans un établissement avec des élèves simpa poli, et aimable.

Mais malgré que j'étais heureuse dans cette nouvelle classe j'étais déjà détruite, et il m'était impossible de me sociabilisé. J'étais complément perdu, j'avais l'impression d'être dans un autre monde, et j'avais mes repères. J'avais perdu ma facultés naturel que tout être humain ont normalement, c'est à dire la facultés de communier avec les autres. Je me renfermais sur moi-même, réservé, et j'avais peur de venir vers les autres, et ça mes camarades le ne comprenais pas, ils trouvaient ça bizarre. Alors j'ai dû leur raconter, tout ce que j'ai traversé, et ils ont été choqués. Ils me disaient " C'est une histoire de ouf ton truck, c'est pas possible je ne comprends pas. T'es comme tout le monde, t'es sage, tu ne fais rien, tu ne déranges personne. T'es juste un peu timide, mais c'est pas grave, t'es une fille gentille. Je ne vois vraiment pas ce qu'on pourrai te reprocher, qu'es-ce que ces gens avaient contre toi ?" Suite à ces paroles, j'étais choqué autant que eux étaient choqué : Eux part ce que je venais de leur dire, et moi par ce que je venais d'entendre.



Maintenant une nouvelle page s'est tournée mais je porte encore en moi des cicatrices qui ne s'effaceront jamais, et même si je ni pense plus, je n'oubliai jamais cette période noir de mon histoire qui à détruit mon enfance et mon adolescence. Parfois je fais encore des cauchemars. Je rêve d'être au lycée ou au collège, et qu'il m'arrive toute sorte de chose atroce, et quand je me réveille, certe j'ai envie de pleurer, mais je me dis qu'après tout ce n'était d'un cauchemar, et qu'il n'y avait rien de grave. Mais dans la vie de tout les jours je suis très sencible, à certains mots, et au regard. Quand 2 personnes discutent, j'ai toujours envie de vérifier si ce n'est pas de moi qu'ils parlent, lorsqu'ils disent : "Elle".

Aujourd'hui quand je vois mes agresseurs, je change trottoir, affronter leur regard m'est insupportable, mais aujourd'hui je ne suis plus la même, et je suis prête à m'affirmer. A l'époque l'idée de portez plainte ne m'est pas venu à l'esprit car j'étais trop jeune. Je regrette de ne pas y avoir pensée plus tôt. Mais faut dire que j'avais été tellement humilié, que j'avais honte de me plaindre. Je me sentais sali, et honteuse, je ne pouvais pas en parler, c'était impossible pour moi de dire à quelqu'un que je subissais des attouchements, cela me dégoutais. Mais aujourd'hui tout cela à bien changer, et maintenant ils n'ont plus intérêt à me porter atteinte. Ils m'ont détruit mon adolescence, alors je suis prête à leur pourrir leur vie de jeunes adulte. Si je les revois, je leur dirais haut et fort d'une main courante sera faite, et que je porterai plainte contre eux, à la gendarmerie s'ils reconnmence ! Maintenant je n'ai plus peur d'eux. Je suis majeurs et eux aussi, donc j'en profite, et je ne leur ferai pas de cadeaux. Au moindre faut pas, ça sera les gendarmes directe ! Ils ont intêret à bien se tenir. J'aimerai tant pouvoir le faire, les voir menotter serai pour moi la meilleure des récompenses, et ma plus grande vengance. Il faut qu'ils comprennent que dans la vie, tout n'est pas permis, qu'il y a des lois et que j'ai des droits (le droits d'être respecter). J'ai grandi, de petite adolescente vulnérable, et je suis devenu une femme forte qui connait ses droits et qui sait se défendre intelligemment. Leurs menace ne fais plus le poids contre moi, je n'ai pas besoin d'un garde du corps comme ils le prétendent puisque c'est le code pénal qui me protège, et s'ils tentent de recommencer je porterai plainte.

Mais ça me révolte d'avoir eu à attendre d'être majeur pour qu'on s'intéresse enfin à moi. Quelque soit notre âge, on devrait tous avoir le droit d'être protégé et défendu. Je trouve ça scandaleux. Quand on est adulte, et qu'on se fait agresser dans la rue, on fait une main courante, ou on porte plainte. Les gendarmes et les policiers nous disent : "On va s'en occuper" / "on s'en charge" / "on fera le nécessaire!" (ils nous aident). Mais quand on est enfant ou adolescent et qu'on se fait agresser à l'école, on ne peux pas se plaindre. Les surveillants et les CPE nous disent : "Ce n'est pas grave" / "ignore-les" / "retourne jouer" / "on verra ça plus tard !". Plus tard c'est quand ? c'est jamais ! Ils nous envoient chier, il s'en fichent ! Tout ce que les profs veulent c'est qu'on travaille.

Quand on voit les surveillants on se demande ce qu'ils foutent là, et à quoi il servent ! Quand on est mineur, on est libre d'agresser qui on veut, quand on veux, sans avoir à moindre contraite ! IL VA FALOIR QUE CELA CESSE !! LES AGRESSIONS ENTRE MINEURS NE SONT PAS MOINS GRAVE QUE LES AGRESSIONS ENTRE ADULTE ! Quel soit notre âge et le lieu dans lequel on se trouve, on devrait tous avoir le droit d'être défendu et protéger. On parle de harcèlement scolaire seulement maintenant, alors cela existe depuis plusieurs génération ! Dans ce domaine, la France à 40 ans de retard par rapport à nos voisins Européen, c'est inadmissible !



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Tags : stop, arcelement scolaire, DANGEREUX, discrimination defense, JE VOUS FAIS CONFIANCE
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#Posté le lundi 28 novembre 2016 08:38

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